2024 en un clin d'oeil

un soutien efficace pour le secteur audio-visuel et l’économie bruxelloise

Avec des investissements stratégiques et une vision ambitieuse, screen.brussels continue de jouer un rôle essentiel dans le développement du secteur audiovisuel à Bruxelles. En 2024, l’impact de son soutien confirme son importance pour l’économie, l’emploi, l’image et la notoriété de la région. Cette année encore, screen.brussels a investi 3 millions d’euros dans 27 projets, générant un retour exceptionnel de 34,122 millions d’euros en dépenses audiovisuelles attendues. Cela représente un rapport moyen de 9,5 euros de retour pour chaque euro investi sur la période 2016-2024.

« Cette stratégie d’investissement est un mécanisme efficace et mesurable qui stimule l’emploi et remplit le carnet de commandes des entreprises bruxelloises, contribuant à un secteur clé. Depuis 2016, pas moins de 241 entreprises ont été créées ou relocalisées à Bruxelles dans ce domaine. » précise Rudi Vervoort, Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale. « De plus, 60 % des projets soutenus comptent un ou une Bruxellois.e à la réalisation, et 80 % à la production » rajoute-t-il.

Une vitrine internationale pour Bruxelles

Le soutien de screen.brussels génère des retombées non seulement économiques (directes et indirectes) mais également en termes d’image et de notoriété. En 2024, Bruxelles est un décor essentiel dans 13 des 27 projets soutenus ce qui contribue à l’émergence d’un soft power bruxellois bénéficiant à d’autres secteurs d’activités économiques et touristiques.  Des œuvres comme La Nuit se traîne, TKT, et BXL continuent de captiver les publics, tandis que des séries comme Pandore, Roomies, ou 1985 marquent durablement l'imaginaire collectif. Les sélections et prix dans les festivals ne sont pas en reste : des productions précédemment soutenues comme Augure, Quitter la nuit, et Sirocco et le royaume des courants d'air brillent sur la scène mondiale, consolidant le positionnement de la Région de Bruxelles-Capitale  comme territoire qui compte dans la production cinématographique et audiovisuelle européenne.

Donner envie de créer des fictions politiques européennes

Si la notoriété de Bruxelles en tant que lieu central de pouvoir, de lobbying  d’espionnage, d’enjeux  politiques etc. n’est plus à faire, assez peu de projets audiovisuels se sont pleinement inspiré de sa qualité de capitale européenne et internationale. Dès lors, screen.brussels a initié le Cineuro FilmLab ‘European Stories’. En coopération avec d’autres régions européennes concernées (Grand-Est en France et le Grand-Duché de Luxembourg), il s’agit d’encourager le développement de productions audiovisuelles ‘européennes’ à l’aide de sessions d’inspiration et d’ateliers d’écritures. Ceux-ci rassemblent scénaristes  et témoins directs travaillant dans la ‘European Bubble’ susceptibles de les nourrir en anecdotes et récits de vie de l’intérieur.  

Une diversité de formats  soutenus

Depuis sa création, screen.brussels s’engage à soutenir la qualité et la diversité des projets, tous formats confondus. En 2024, l’investissement s’est porté sur 12 longs métrages, 6 documentaires, 5 projets d’animation et 4 séries. Ce qui a respectivement représenté en part de budget 48 % (longs métrages) 28 % (l’animation), 19 % (séries) et 5 % (documentaires) des 3 millions d’euros alloués.

Des projets à fort impact sociétal

L’on peut également se réjouir de la portée sociale de certains projets soutenus par screen.brussels. Bien sûr grâce aux documentaires (Dans leur monde, Famille choisie, The Deal with Iran, L’Eukrainienne, etc.) mais également dans la fiction. Ainsi, les succès d’audiences se combinent avec des plébiscites de la presse et des intégrations dans milieux scolaires. Le film TKT de Solange Cicurel, qui traite du harcèlement scolaire, a dépassé les 50 000 entrées en salle en Belgique (le premier film francophone en 2024 dans notre pays) et multiplié les séances scolaires et pédagogiques. Succès également pour Amal de Jawad Rahlib (radicalisation chez les jeunes, discrimination..)  de BXL des frères Monir et Ish Aït Hamou (émancipation)  ou encore des séries Roomies de Kato De Boeck en Flo Van Deuren (thématique LGBTQI+) et Hacked de Leni Huyghe et Laura Van Haecke (harcèlement scolaire).  

L’essor de l’animation à Bruxelles

Avec la montée en puissance de la #Brussels #AnimationValley, l’animation bruxelloise se positionne de plus en plus comme un acteur incontournable en Europe. En 2024, des projets tels que Ewilan's Quest, Chickenhare 2, Olivia et le tremblement de terre invisible, Outfoxed et La grande rêvasion témoignent de cette dynamique créative.

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